Consumérisme culturel



Dans notre ère différents mutations ont vu le jour, l'homme fais beaucoup plus de progrès d'une vitesse phénoménale, cette vitesse n'est pas surtout fourni par des super ordinateurs, le progrès est le résultat de la matière grise de l'homme donc c’est évident de dire que c’est les idées qui font avancer le monde.
Si on veut qualifier notre présent d'un nom ça ne sera pas l'ère du progrès ou de la connectivité, mais ça serai l'ère de la compétition, on a vu comment la compétition entre les nations a permis de faire écouler l'empire britannique pour que les états unis soient le gendarme du monde, et comment la chine est en train de prendre du terrain face aux autres, on peut aussi parler d'innombrables produits qui disparaissent chaque jour parce que d'autres sont plus adaptés aux consommateurs. Le concurrent qui remporte le challenge n'est pas forcement celui qui a mobilisé une communication réussie et ce n'est pas forcement celui qui couvre tous les besoin de l'homme, mais c'est le deal qui est facile a appréhender sans aucune sophistication, qui a une apparence soignée et qui donne la satisfaction d’être original.
Depuis que l'homme a pu cartographier la planète il a pu montrer qu'il n'a pas laissé un endroit inexploré, avec l'avancée technologique toutes les cultures se sont rapprochés, les frontières de idées ne se posent plus surtout avec l'apparition d'internet, ce rapprochement d'idées et de cultures fais surgir la réalité de l'être humain qui est compétitive de nature voir même dominatrice, les gens sont de plus en plus victimes des idées imposés par d'autres gens rendant la relation entre les cultures en tant que culture dominante et une autre dominée. Chaque idée ou conception est juste quand elle est en parfaite concordance avec le système de valeurs qui va avec, on prend l'exemple des aborigènes qui mènent une vie primitive qui ne trouvent aucun inconvénient de vivre exhibés au public tandis qu'a notre monde le fait de s'exhiber en public peut engendrer un scandale.
Les idées de nos jours se vendent, le fournisseur n'a pas vraiment besoin de contrepartie pécuniaire, mais il fait un bénéfice dès qu'on absorbe les idées qu'il fais produire, de l'autre partie la population se trouve exposée a plusieurs idées souvent contradictoires, et dans un marché aux idées les individus se trouvent orientés par des conceptions qui sont dominantes plutôt que justes, c'est simplement logique car ces idées sont faciles a comprendre a consommer et rendent l'individu homogène aux autres, sans se soucier du système de valeurs instauré par ses prédécesseurs, par ses origines, on peut donner l'exemple de l'esthétique, plusieurs individus d'autres races humaines ont abandonné l'idée qu'ils ont une belle apparence tels qu’ils sont pour se déguiser avec l’image d’une autre race humaine sans qu’ils sachent que les humaines sont égaux, c’est pour cela qu’on peut voir un asiatique brun avec des cheveux blonds ! cela est un sujet qui doit être traité a part et qui a d'interminables ficèles, mais ce qui est sure c'est que ce n'est pas une simple affaire d’esthétique, c'est un abandon de la conception du soi voir même un rejet de soi même, la conception s'est vendu a un individu pour qu'il puisse appartenir a un autre groupe qu'il juge supérieur, or réussir un tel deal dépend de la force de faire disparaitre le systeme de valeurs d'un groupe ou en lui donnant illusion qu'il fait partie du maillon faible avec ses conceptions tels qu’on fait aux musulmans ont leurs faisant sentir la culpabilité a appartenir a une nation terroriste pour les inciter a rejeter leurs valeurs et céder au nouvel ordre mondial.
Ce jeu de domination d'idées illustre notre existence par plusieurs clichés, le monde se dirige vers des gens qui ont le même gout, qui sont vêtis de la même manière et qui ont une seule divinité, qui va gagner à la fin? C’est forcement le plus fort et des conceptions fortes sont des conceptions faciles a s’accrocher a l’esprit humain car les idées fondées finissent par ne pas être retenues grâce a elles s’avèrent plus compliquées.
Les hommes ont pensé a se protéger contre toutes les menaces pour mener une vie paisible, on s'est protégé de la peur par une arme, des troubles météorologiques par des refuges et des vêtements on s'est même protégé contre les extraterrestres, on a pratiqué le consumérisme pour que le consommateur consomme sans qu'il se consomme, mais il y'a des nations (tel que la mienne) qui n'ont pas prévu un consumérisme culturel, un consumérisme qui défend l'identité de la nation contre toute consommation abusive d'idées qui brouillent, ou se trouvent nos systèmes de valeurs parmi tout les cultures qui nous bombardent ou qui nous séduisent, quels attitudes adopter, quelles sont les conceptions positives du fond et quelles sont les autres qui sont piégés, pour se protéger d'une telle guerre culturelle il faut dans un premier lieu se réunir, maitriser son passé et avoir les valeurs du groupe d’appartenance bien ancrées dans l'esprit, il faut stopper cette fuite a l'égard de la culture mère pour embrasser une culture empoisonnée, bien sûr ce n'est pas un appel au rejet des autres cultures, mais c'est un appel a se connaitre soi même qui pourra rendre tout individu capable de contempler plusieurs cultures sans tomber dans la toile d'araignée, il est possible d’être moderne sans délaisser l’héritage des ancêtres.

Omar chouiekh


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De la press partisane ...

Justifier

il y a de cela trois semaines
Ce matin le prof n’est pas venu pour nous faire passer l’examen, une bonne chose, une bonne chance pour réviser ; nous n’avons et nous n’allons pas réviser … Ma camarde me demande si je veux bien partir avec elle prospecter un invité que nous nous connaissons pas encore ; un journaliste de la presse partisane.
On arrive aux locaux d’un de ces journaux, c’est très drôle déjà ! avant de rentrer on s’aperçoit de cette façade qui ne reflète que ce qui se passe dedans est rien, les actualités de l’histoire, on sent déjà une odeur bizarre, une allergie commence, les démangeaisons … dans le nez les yeux commence à pleurer ; peut être ce n’est pas une allergie, c’est de la tristesse de la médiocrité d’un quatrième pouvoir, d’une médiocratie, de toute la presse, je ne vais pas trop me retarder sur la façade car vous les connaissez toutes ; ce que vous ignorez peut être c’est ce qu’il y a dedans.
on rentre il y a des bureaux dispersés, comme une poigné de dés d’un dominos ; je ne sais pas comment décrire cette scène, c’est le désordre tout simplement, mais le moins qu’on puisse dire que c’est une façon aléatoire d’organiser un lieu de travail, les pauvres tellement ils ont du travail qu’ils n’ont pas le temps d’organiser ce lieu saint de la production intellectuelle et idéologique vue que c’est le porte parole d’un parti … c’est des locaux en état insalubre, qui ne m’a fait que projeter dans un espace très proche, l’univers de la décharge de Mediona, la bas au moins c’est une décharge déclarée, avec une mosaïque très belle puisqu’elle remonte à l’époque coloniale je crois, ce connard de rédacteur en chef ou le chef de rédaction… parce qu’on sait pas son identité véritable, à part le fait que c’est une personne carrée avec un vieux discours, ce qui n’est pas très impressionnant vue la qualité de leurs articles, je me rappelle, des fois pour digérer mon déjeuner j’avait acheté leur journal, il y avait des photos de poubelles publiques, les verts que tout le monde connait, et ce n’était pas la première fois que je m’aperçoit de ce genre de photos chez eux, bien sûr les choses qui vont dans une poubelle imagine leurs parcours avant de s’y mettre
Cas ce journaliste qui était à coté de son pc qui m’a rappelé l’époque machintouch et disquette zip , oui oui avant que j’oublie le décor oui ! le pc est très poussiéreux à tel point que la poussière en fait parti bien sur ; il est bon pour la décharge ou bien la ou on est, il y a des tonnes de journaux partout où on va, le bureau de ce fameux rédacteur en chef ressemble à j’en sais quoi une boutique d’un vieux cordonnier de l’époque ou les marocains réparait leur chaussure avant que la chaussure de la chine nous libère, quant on mentait j’avais peur qu’on ne reviennent pas voir qu’un minaret vient de s’effondrer, un immeuble comme ça de l’intérieur peut s’effondrer à tout moment, mais celui là, non pas parce qu’il y a pas d’entretien ni par vieillesse mais parce qu’il y a des gens comme ça, l’immeuble voudrait bien donner sa vie pour les faire taire, parce qu’il ne sert à rien qu’à abriter des gens qui produisent de la démagogie, je me demande d’où ils s’inspirent, je crois que leur première source sont les informations de la chaine nationale, les sites web des ministères qui leurs appartiennent et puis bien sur et surement des cireurs de chaussures qui sont devant la porte, ma fois j’ai oublié de vous raconter ce qu’il nous a dit, oui au lieux de nous dire bienvenue mes chères étudiants je suis fière que des gens comme vous se battent pour étudier à la fac, là où personne ne veut plus allez, et vous faites des masters pour la recherche au lieu de faire des masters professionnels comme vos camards font, vous vous donnez du mal et vous venez me voir rien que parce que votre prof vous a demandé d’interviewer un journaliste pourri comme mon cas … il nous a dit vous êtes des étudiants en communication, vous savez bien que les moyens de communication existent il fallait prévenir, on a beaucoup de travail ( je crois qu’il était concentré avec un sodoco ou des photos pornographiques ..) mohim, … vue que ce n’est pas la première fois ni la dernière ( ça j’en suis certain ) que je tombe dans ce genre de situation, ma réaction, malgré moi, était oui oui c’est vrai vous avez raison, et puis on lui a dit merci au revoir, et je suis parti .
vous savez pourquoi j’ai fais ça parce que à l’heure ou je lui parlais, ces mots là que je partage avec vous me venez à l’esprit ; j’ai au moins gagner un article, si non je crois que si je me suis égueuler avec lui j’aurai gagner deux un sur l’histoire que je viens de vous raconter, et une autre du poste de police … je me contente d’une seule histoire cette fois la prochaine fois j’irai en poste de police pour vous décrire la situation .

Mohamed El Bernoussi
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Voyage vers le pays du Nile bleu ... épisode 1


Une grande occasion..mais ratée…
Veuillez m’excuser pour cette langue catastrophique, je voulais juste faire sortir tous ce qui se chamboulent dans mon cerveau idiotisé par l’endoctrinement de la vie quotidienne et vous faire partager mes aventures … si vous permettez… si vous ne permettez pas ne lisez pas ! j’attaque pour vous défendre …
Je n’ai jamais cru que ma modeste barque va m’emporter en une dernière destination le « Maroc »,

…J’ai ouvert mes yeux dans ce pays béni « Almoghrib » à l’hôpital « al7awma » de saint bernoussi, je crois que j’ai senti en ce temps là l’odeur du « rfissa » apportées par les visiteurs « mmm … » avec les « msakhen » bien sûr , et j’ai vu (la vision du ventre) et entendu les bruissements des billets d’argent fourrées dans la poche de la gourmande « fermlia » ( femme d’infirmerie –pour les plus nuls infermière- ) qui n’a cessé de demandé des choses aux malades comme ça, grâce à son esprit fin, sa mentalité forte. elle et son équipe soudée autour du « Gassaa » qui n’a laissé aucune trace du « rfissa » …
Mohim, ma mère s’est rétablie très vite bien sûr, elle a été obligée suite à des circonstances involontaires , ce n’est pas la peine de les citer, ils ne vous mèneront à rien …
J’ai été dans mon neuvième mois lorsque (ne vous étonnez pas) ma mère a réservé deux place vers le soudan par avion, et par ironie du sort l’avion a été obligé de s’arrêter au switzerland … en arrivant à l’ aéroport, les jolies hôtesses , bien sûr , de l’air nous ont guidé vers l’hôtel en attendant la réparation ou la résolution du petit problème !!! Deux heures après, mon frère aîné, plus grand d’un an et demi, a pris le chemin vers les escaliers sans attirer l’attention de ma mère qui a été séduite par le « blanc » de la chambre. Meublée par un petit réfrigérateur plein de toutes sortes de boissons alcooliques (un rire), alors il s’est dirigé (mon frère) vers l’inconnu, il s’est perdu dans les abysses de ce géant aéroport, impossible de le trouver (noway)…à suivre

Madiha Adam
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العالم الحقيقي


إحساس جميل أن تحس بأنك إنسان وإحساسٌ أروع أن تحس بالمسؤلية وأن تلمس مدى العبت اللدي نعيش فيه
فزيارتي لدار العجزة والمهملين ... جعلتني أفهم معنى كلمة إهمال فلا تفهم معاني الكلمات بالمعجم فقط ولا يمكن أن نحس بالأخر إلى ادى شاركناه همومه و أزلنا المسافات بيننا وبينه ...
العالم الحقيقي....العالم الحقيقي جملة سمعتها و أنا على الأبواب جعلتني أعيد فتح الكتاب لأبحت عن الجواب أو بالأحرى عن العالم الحقيقي ترى هل هو عالم النت و النقال ،البيع و الشراء ام الصناعة و الفن ؟
ما لي غير الانتضار ، إنتضار ما خلف الأبواب لينسيني الشباب ويزيل الضباب عن الجواب ويجعلني أبحر في بحت عني الأسباب
قل كلمتك قبل أن تموت فإنها ستعرف حتماً طريقها لا يهم ما ستؤل إليه الأهم أن تشعل عاطفة أو حزناً أو نزوةً غافية ، كلماتٌ قالها شكري في روايته الخبز الحافي و أنا أبدأ بها مقالي لأن صدري ضاق بالكلمات و لأني أريد أن أتكلم عن كل ما هو حافي من قلوب ومشاعر وأحاسيس أريد أن أتكلم وأريد أن أتساءل كيف لمشاعر إبن أن تصبح حافية وكيف لحياة عجوز أن تصبح خالية وكيف لمجتمع أن يصل إلى الهاوية فيا ترى هل زيارتي كنت كافية ؟

لا أريد أن اصف لأني لا أعرف من أريد أن أصف أو بالأحرى من يجب أن أصف ، من الأعمى الحقيقي ومن ينتضر الموت ومن الشجاع ومن الشكور ومن الصبور ومن الضحية .ولا أريد أن أحكم لأني دائماً متسائل حائر ، من الضالم ومن المضلوم ومن الضحية هل هم المتخلى عنهم أم دويهم أم المجتمع فالمشهد كان أقوى مني من قلمي ومن كلماتي وأسلوبي لاعبر عنه لكني ومع كل تساؤلاتي وحيرتي رأيت الأمل ، رأيت الأمل في عيون ضعيف النضر أملٌ لم أره في ضوء القمر ولمست الصبر في المريض صبر لم ألمسه في هاد العالم المريض وعرفت الواجبة والرسالة التي يمكنها أن تزيل حيرتي و تجيب عن تساؤلاتي.
أحمد اغروني
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